jeudi 20 septembre 2012

Dans le Cabinet de mon Père


     Après que j’ai trouvé mon hippopotame, et nous somme rentrés chez nous, mon père m’a dit qu’il faut que je vienne avec lui à sa société parce qu’il serait « Le jour d’amener votre enfant au travail. » Il a dit aussi qu’il m’a apporté à la montagne pour trouver mon hippopotame, et je dois le faire pour lui. D’accord, j’ai dit, mais j’apporterai mon hippopotame.
-Est-ce que ça c’est nécessaire? Il a dit.
-Oui, bien sûr, j’ai répondu, Mais comment est-ce qu’on l’apportera avec nous!? Ta voiture est toute petite!
Il a poussé un soupir.
-Nous attacherons une corde à son cou. Tu l’agripperas pendant que je conduirai.
-Bonne idée!
Le jour après, je me suis habillée en ma chemise bleu avec des petites fleurs, mon pantalon noir, et mes chaussures rose. J’ai pris une cravate de mon père, et je l’ai mis sur mon hippopotame. Il doit être beau.
     Après le petit-déjeuner, mon père et moi, nous sommes partis.
-Voilà, la corde. Mets la sur l’hippopotame, mon père a dit.
-C’est toute petite! C’est un hippopotame, pas un cochon!
-Ça va. Essaye de le mettre sur lui.
-C’est bon. Merci.
-Pourquoi as-tu une cravate?
-Pour il le faire beau!
Il n’a rien dit, et on est allé. Je tenais la corde avec beaucoup de force.
-Ralentissez! Est-ce que vous voudriez le pendre? J’ai crié.
 -Nous serons en retard!
-Vous voulez le tuer! Et j’ai commencé à pleurer.
Il a ralenti, mais on était tard. Quand il avait fini de s’excuser, le directeur, qui dirige un peu trop beaucoup, comme mon père toujours avait dit, est entré.
-Bonjour, je suis le directeur. Comment tu t’appelles?
- Mes parents m’ont dit de ne pas parler aux étrangers.
-Non, il n’est pas étranger- mon père commençait à dire quand la téléphone a sonné. Il l’a décrochée ; il a utilisé sa voix qu’il utilise quand il parle avec les grandes-personnes. –Non, on n’a pas de stages maintenant. Nous n’avons pas d’apprentissages. Non, personne n’était licencié. Nous n’avons pas d’emploi pour vous donner. Désolée. Au revoir.
-Monsieur, la secrétaire a une candidature pour te voir.
-Merci.
-J’ai dit, mais vous avez dit que à l’autre personne qu’il n’y a pas d’emploi. Je savais que mes yeux étaient un peu mouillants parce que ce n’était pas juste, mais je ne voulais pas que le directeur me voie faible.
-Parle lui de ton hippopotame, mon père a dit.
-Il est gris et il est beau parce qu’il porte une cravate. Il aime se cacher. J’ai dit excitante.
-Où est-il ? Le directeur a dit avec soulagement.
-Je ne sais pas ! J’ai enlevé la corde quand on est arrivé…
     Mon père, le directeur, la secrétaire, et des autres salariés l’ont cherché après que je l’ai dit. Pourquoi est-ce qu’il se cache toujours!? Finalement, je l’ai trouvé dans le cabinet de directeur après que tous les papiers étaient sûr le plancher.
-Je l’ai trouvé ! J’ai dit avec fierté.
-Où ? Tout le monde a demandé.
-Dans le cabinet du directeur!
     Ils y ont couru, et le directeur était rouge comme une cerise. Mon père a dit qu’on devait retourner chez nous, mais je n’avais toujours pas la corde. Mon père était fâché aussi, donc, j’ai pris la corde d’un téléphone, et maintenant, c’est un téléphone sans fil. Je la utilisais pour prendre l’hippopotame avec nous.
On est rentré chez nous, et j’étais heureuse de ne pas devoir être avec des grandes-personnes, juste ma mère.  
Dori Kacsoh

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