Après que j’ai trouvé mon
hippopotame, et nous somme rentrés chez nous, mon père m’a dit qu’il faut que
je vienne avec lui à sa société parce qu’il serait « Le jour d’amener
votre enfant au travail. » Il a dit aussi qu’il m’a apporté à la montagne
pour trouver mon hippopotame, et je dois le faire pour lui. D’accord, j’ai dit,
mais j’apporterai mon hippopotame.
-Est-ce que ça c’est nécessaire? Il a dit.
-Oui, bien sûr, j’ai répondu, Mais comment est-ce qu’on l’apportera avec
nous!? Ta voiture est toute petite!
Il a poussé un soupir.
-Nous attacherons une corde à son cou. Tu l’agripperas pendant que je
conduirai.
-Bonne idée!
Le jour après, je me suis habillée en ma chemise bleu avec des petites fleurs,
mon pantalon noir, et mes chaussures rose. J’ai pris une cravate de mon père,
et je l’ai mis sur mon hippopotame. Il doit être beau.
Après le petit-déjeuner, mon
père et moi, nous sommes partis.
-Voilà, la corde. Mets la sur l’hippopotame, mon père a dit.
-C’est toute petite! C’est un hippopotame, pas un cochon!
-Ça va. Essaye de le mettre sur lui.
-C’est bon. Merci.
-Pourquoi as-tu une cravate?
-Pour il le faire beau!
Il n’a rien dit, et on est allé. Je tenais la corde avec beaucoup de force.
-Ralentissez! Est-ce que vous voudriez le pendre? J’ai crié.
-Nous serons en retard!
-Vous voulez le tuer! Et j’ai commencé à pleurer.
Il a ralenti, mais on était tard. Quand il avait fini de s’excuser, le
directeur, qui dirige un peu trop beaucoup, comme mon père toujours avait dit,
est entré.
-Bonjour, je suis le directeur. Comment tu t’appelles?
- Mes parents m’ont dit de ne pas parler aux étrangers.
-Non, il n’est pas étranger- mon père commençait à dire quand la téléphone
a sonné. Il l’a décrochée ; il a utilisé sa voix qu’il utilise quand il parle
avec les grandes-personnes. –Non, on n’a pas de stages maintenant. Nous n’avons
pas d’apprentissages. Non, personne n’était licencié. Nous n’avons pas d’emploi
pour vous donner. Désolée. Au revoir.
-Monsieur, la secrétaire a une candidature pour te voir.
-Merci.
-J’ai dit, mais vous avez dit que à l’autre personne qu’il n’y a pas
d’emploi. Je savais que mes yeux étaient un peu mouillants parce que ce n’était
pas juste, mais je ne voulais pas que le directeur me voie faible.
-Parle lui de ton hippopotame, mon père a dit.
-Il est gris et il est beau parce qu’il porte une cravate. Il aime se
cacher. J’ai dit excitante.
-Où est-il ? Le directeur a dit avec soulagement.
-Je ne sais pas ! J’ai enlevé la corde quand on est arrivé…
Mon père, le directeur, la
secrétaire, et des autres salariés l’ont cherché après que je l’ai dit. Pourquoi est-ce qu’il se cache toujours!? Finalement,
je l’ai trouvé dans le cabinet de directeur après que tous les papiers étaient
sûr le plancher.
-Je l’ai trouvé ! J’ai dit avec fierté.
-Où ? Tout le monde a demandé.
-Dans le cabinet du directeur!
Ils y ont couru, et le directeur
était rouge comme une cerise. Mon père a dit qu’on devait retourner chez nous,
mais je n’avais toujours pas la corde. Mon père était fâché aussi, donc, j’ai
pris la corde d’un téléphone, et maintenant, c’est un téléphone sans fil. Je la
utilisais pour prendre l’hippopotame avec nous.
On est rentré chez nous, et j’étais heureuse de ne pas devoir être avec des
grandes-personnes, juste ma mère.
Dori Kacsoh