mercredi 17 octobre 2012

Un Conte de Fées

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     Il était une fois un roi qui attrapa mon hippopotame. Il n’avait pas de reine, et il était seul. Mais c’était mon hippopotame, et je devais le sauver.  Je suivis le sentier : j’écoutai des sifflements et des croassements ; je vis des yeux, et puis, un lapin courut au travers de sentier avec les yeux tous autours. Le bois rigola à moi.
     Avec les genoux tremblants, j’avançai.
     En arrivant au palais, je vis le mal. C’était un ogre très grand avec des pouvoirs magiques. Normalement, les ogres sont stupides ; ils cassent des maisons avec des fenêtres. Mais cet ogre, je pense qu’il était sorcier. Je vis un tapis volant qui était aussi grand que l’ogre parce que les ogres sont énormes. C’était comment il se déplaçait parce qu’il était déséquilibré.
     Donc. J’avais peur de lui, mais il était rigolo aussi. Avec sa baguette étant de pain, il essaya de me tuer. Je me jetai sur la terre ; l’ogre voleta au dessus de moi. Je pris mon épée, et je coupai son tapis volant. Je me roulai vite, et l’ogre, comme une arbre, tomba.
     Je vis qu’un chevalier avança, et je vis un passage secret. J’en sautai, et il n’y avait pas de complications. J’avais beaucoup de peur à cause des aventures. Je me respirai pour deux minutes, mais mon hippopotame aurait pu être mort !
     J’arrivai à la chambre de roi—l’hippopotame pleura dans une cage. Le roi mangea des raisins sur le lit ; des fées bleues le donnèrent à manger. Je ne pouvais pas le tuer. Il n’était pas prêt à combattre.
     J’essayai de sauver l’hippopotame, mais la cage avait une clé.
     « C’est mon hippopotame que tu voles ! » Il dit.
     « Non, c’est le mien! »
     Les fées m’attaquèrent avec les dents tranchantes. Mon sang sourdit et l’hippopotame cria. Je ne pouvais pas toucher les fées, et je me suis mis à pleurer.
     « Pourquoi est-ce que tu pleures ? » Ma mère me dit, « Rien ne s’est passé. »
Dori

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