jeudi 24 janvier 2013

Mon Opinion de Macon


L'article de "Le Journal de Ella Hall"
Mon Opinion de Macon
 
A mon avis, Macon est amusant et ennuyeux. Macon a beaucoup d’amusantes activités à faire. Les magasins au centre commercial sont bons! J’adore ces magasins. J’adore aussi, le cinéma, “Amstar.” “Amstar” est grand, bon, et propre. Et, tout le temps, “Amstar” a les bons films. Aussi, de temps en temps, j’aime Macon pour Macon. Nous grandissons à Macon. Macon est ma ville! Macon est grand!                 

 

Mais…de temps en temps, je n’aime pas Macon! Macon n’a pas beaucoup d’activités amusantes à faire, a` l’exception de…le cinéma et le centre commercial. Le centre-ville de Macon n’est pas amusant. Qu’est-ce que les étudiants de Mercer font le week-end?! A mon avis, Macon a besoin d’un centre-ville amusant. J’aime Macon et je n’aime pas Macon.

mercredi 23 janvier 2013

Le verbe Croire

 Croire:
Je: crois                                    Nous:croyons
Tu: crois                                   Vous: croyez
Il/elle/on: croit                         Ils/Elles:croient

Passe' compose': cru
(To believe in or to think)

Ex. Je crois aux extraterrestre. 
Il croit a' pere Noel. 



~Hannah Wilson

Le Journal


            Mon père soupa. Il regarda l’hebdomadaire. Sur la une, il y avait une image de notre famille très mouillée.
            « Où est l’hippopotame ? » je dit.
            « Il n’existe pas, » mon père dit, fâché.
            « Quoi ? Non, je suis sûr qu’il existe. Il s’est caché. »
            Mon père soupa encore, et il se cacha la tête dans les mains.
            Des heures plus tard, j’entendis mon père et ma mère : « Elle est persuadée que l’hippopotame existe. Elle a huit ans maintenant. C’était chouette quand elle était plus jeune, mais maintenant, ça pose un problème. » Et ensuite, « Il me semble qu’elle devrait jouer avec des autres enfants. »
            J’allai à la cuisine et ouvris l’hebdomadaire. Voilà l’image sur la première page. Je commençai à pleuvoir. Idiote ! Je pensai. La météo me dit qu’il pleuvrait le reste de la semaine. Les nouvelles de la dernière semaine étaient là. Des diplomates mangèrent ensemble à Paris pour décider ce qui se passera. Ils sourirent, et je ne sais pas pourquoi. Les français faisaient la grève encore. Quelqu’un vendit une cravate. Une cravate !
            « C’est la cravate que l’hippopotame a porté ! » Je criai.
            Mes parents entrèrent. Ils demandèrent ce qui se passa. Je les montrai la cravate.
            « On doit la retrouver. »
            « Absolument pas ! » Ma mère dit.
            « J’aimais cette cravate… » Mon père dit.
            « Nous n’allons pas la retrouver ! » Elle dit, et en chuchetant, « L’hippopotame va disparaître. »
            « D’accord, d’accord, » il dit, « mais si elle y laisse son ami, pouvons nous acheter la cravate ? »
            « Tout le monde est stupide ! » elle dit, « j’ai deux enfants ! »
            Je pensai qu’on partirait vendredi.
Dori